L’année 2015 : une croissance verte pour les cleantech

« Cleantech », kézako ? Le terme « cleantech », appelé également« greentech ». Il s’agit tout simplement de cette technologie propre ou verte qui regroupe des techniques et des services industriels qui favorisent l’utilisation de ressources naturelles telles que l’eau, l’énergie ou encore des matières premières. Le but étant d’optimiser l’efficacité, la productivité et la protection des ressources naturelles.

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Un marché très prometteur

Pour les cleantech, 2015 est une année décisive, marquée par deux événements majeurs. D’une part, l’entrée en vigueur de la loi sur la transition énergétique et d’autre part, l’organisation de la Convention des Cadres des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21) qui se déroulera en décembre 2015 à Paris.

La loi sur la transition énergétique : mobiliser pour financer

cleantech

Le projet de loi sur la transition énergétique apporte de nouvelles perspectives à la France. D’ambitieux objectifs ont été fixés : la création de 100 000 emplois d’ici 2018, le développement des énergies propres et des transports propres, la refonte des dispositifs de soutien aux énergies renouvelables, la rénovation énergétique, la lutte contre les gaspillages et la promotion de l’économie circulaire.
Considérant ces objectifs, on devine rapidement qu’ils impliquent un effort financier. L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) a estimé un coût supplémentaire de 10 à 30 milliards d’euros chaque année par rapport au niveau actuel.
Pour les financements, prioritairement privés, le gouvernement s’est engagé à reverser 10 milliards d’euros sur 3 ans. Autres sources de financement : plusieurs acteurs publics contribuent également au soutien du projet tels que [lire la suite sur le blog de Bpifrance le Hub]